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Oignon Fugace

StudyTip #1 – Assistez aux conférences

Au-delà de mes critiques vis-à-vis de l’université, reconnaissons au moins l’un de ses nombreux points forts : sur ses terres de recherche et de stimulation intellectuelle, elle attire nombre d’étranges visiteurs en quête d’un lieu où transmettre leurs savoirs et communiquer leurs travaux. Vous verrez toujours se balader sur ces territoires quelques politiciens, académiques, écrivains, économistes ou artistes, avec en tête les conférences qu’ils s’apprêtent à donner. La plupart du temps, en tant qu’étudiant, nous y avons accès gratuitement – merci l’institution. Profitez-en ! Assistez au moins à une de ces conférences tous les mois.

Qu’importe le contenu. Si vous étudiez la physique des particules, n’en faites pas une raison pour vous détourner des interventions politiques, ou du discours d’un grand sportif. L’intérêt réside dans la qualité de l’intervenant et le parcours qu’il a su créer pour accéder au succès qu’il connait aujourd’hui. Quelques-unes de ces conférences s’avérerons ennuyeuses. Certes. Mais goûtez à cette saveur d’inspiration que la majorité d’entre elles saura vous insuffler, et vous ne pourrez plus vous en passer. Car c’est bien de cela dont il s’agit : la quête d’inspiration, d’ouverture d’esprit et de connaissances fortuites – mais pas moins bénéfiques – que ces conférences vous procureront.

J’aime les mathématiques, alors je suis allé voir ce que Teddy Riner avait à dire sur la vie. Les parallèles sont omniprésents, et si, sur le moment, vous doutez de bien employer votre temps en le consacrant à quelques discours bien éloignés de vos préoccupations actuelles, sachez que les connexions finissent toujours par jaillir, parfois lorsqu’on s’y attend le moins.

Création de nouveaux liens dans vos connaissances, ouverture d’esprit donc ; mais surtout, inspiration. L’Histoire vous passionne ? Prenez le temps d’assister à l’exposé avant-gardiste d’une grande figure de ce domaine. Vous en ressortirez la tête haute, pleine de nouvelles idées, et confiant dans votre capacité à mener à bien vos projets. Vous vous destinez à une carrière scientifique ? Allez chercher dans ces conférences l’assurance qu’une telle carrière n’est pas hors de portée, et qu’un travail bien orienté peut vous propulser à la place de celui que vous êtes venu voir. L’écriture vous passionne ? Vous ne voyez pas comment tirer votre épingle du jeu dans ce monde ultra compétitif ? Inspirez-vous du parcours d’un auteur à succès, et des conseils que vous aurez la chance de recevoir directement de lui-même.

Une opportunité vous est offerte. Celle de nourrir votre intellect et votre motivation par la présence de quelques personnes à haut degré d’accomplissement. Saisissez-là ! Usez de ces conférences pour vous ouvrir au monde, pour enflammer les braises d’une passion qui sommeille en vous, pour alimenter un feu déjà présent. Usez d’elles comme moyen de vous souvenir vers quoi vous tendez, pour vous projeter dans un avenir prometteur. Assistez-y dans l’idée de vivre ces moments excitants, où le soir, dans votre lit, vous tardez à trouver le sommeil tellement votre imagination vous inonde d’idées créatrices.

De provoquer, une à deux fois par mois, ces moments d’excitation, vous contribuerez – bien au-delà de vos attentes – à votre réussite à venir. Alors assistez aux conférences et maintenez en éveil toute votre vivacité intellectuelle.

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JDB #11 : Retour.

Parlons peu, parlons bien. D’abord, mes excuses pour cette longue absence qui n’aura pas manquée d’en déconcerter quelques-uns. Comme me l’a si bien dit une amie, le minimum aurait été de vous faire une petite note annonçant mon absence à venir. Seulement, vous le savez, la réalité est toujours là pour compliquer les choses, et il a, en effet, toujours été probable que je me remette à écrire, ne serait-ce que sur un coup de tête, faisant perdre toute fiabilité à quelconque prévision. D’ailleurs, voilà ce coup de tête arrivé ! 

Dois-je avouer que cela trahit une longue phase de négligence ? Depuis un moment les questions fusent quant à la meilleure marche à prendre pour l’avenir. Bien qu’au fond je sache que l’une devrait aller de soi, mon esprit s’immisce, bien mal à propos, dans mes raisonnements, en édifiant cette énorme barrière qui vient contrecarrer toute sage prise de décisions. Or sans décisions, pas d’actions – ou surtout, des actions désordonnées – pas d’actions, pas de résultats. Je me plais à imaginer la situation sous un angle métaphoriquement physique, comme autant de forces de sens opposées agissant sur moi, dont la résultante est inévitablement nulle.

L’enjeu est clair. Ôtons quelques-unes de ces forces, et laissons à l’une d’elle la possibilité de s’exprimer librement, et la situation sera débloquée. Mais laquelle favoriser ? Grande est la question.

Il manquera à ceux qui n’ont pas lu mes précédents JDBs de quoi bien comprendre mon propos. Dans les grandes lignes, me voilà à la fac depuis septembre. Un premier semestre au cours duquel j’ai mis l’accent sur la performance. Sans pousser pour autant. Une bonne organisation, de bonnes méthodes de travail, de quoi performer sans se tuer à la tâche, pour, en effet, de bons résultats. 16,74 de moyenne. Les classements n’ont pas été communiqué, mais j’imagine sans mal me positionner assez confortablement dans le haut de la liste.

Mais.

Mais mon passé d’autodidacte a toujours été là, bien présent, dubitatif et perplexe devant les douleurs que je lui infligeais en me soumettant à ce pauvre système. Ce passé, c’est moi, il a forgé ma nature. Les douleurs, c’est moi qui les ressens. Et chassez le naturel, il revient au galop. J’ai fini le semestre sous perfusion.

Ce que je reproche au système ne fera pas l’objet de ce billet, car croyez-moi, j’aurais le temps de m’épancher sur la question. Je me reporte à Antoine de Saint-Exupéry pour résumer ma pensée – ce qu’il fait fabuleusement bien par ailleurs.


« Si tu veux construire un bateau, ne rassemble pas tes hommes et femmes pour leur donner des ordres, pour expliquer chaque détail, pour leur dire où trouver chaque chose… Si tu veux construire un bateau, fais naître dans le cœur de tes hommes et femmes le désir de la mer. »


Antoine de Saint-Exupéry

Le système universitaire dispose d’un potentiel énorme pour une éducation vivante, enthousiasmante, dans laquelle chacun pourrait avoir la chance de s’épanouir dans l’apprentissage des domaines qui le passionne, et la production d’un travail qui met ses compétences et sa propre personne en valeur – là où celle-ci est aujourd’hui constamment dévaluée.

Alors j’enrage de voir à quel point ce potentiel est gâché, pour trop de raisons dont je ne parlerai pas ici, mais avant tout parce que sa philosophie profonde ne consiste qu’à donner des ordres, expliquer chaque détail, et dire où trouver les choses. Donnez envie. Allumez la lumière dans les yeux de vos étudiants. Montrez leur la beauté de ce que vous enseignez. Arrêtez de leur dire que leurs notes ne dépasseront pas la moyenne s’ils ne savent pas répondre aux questions de cours. Montrez-leur en quoi le cours est important. Faites naître dans leur cœur le désir de la connaissance, de la curiosité, authentique et créative.

Bon. Je n’en dirai pas plus. Alors me concernant. Que faire ? Performer dans un tel système ? L’objectif serait bien paradoxal – mais imaginons. A quoi bon ? Le diplôme ? Ça ne m’intéresse pas. C’est la connaissance et l’échange que je recherche. L’université m’offre de larges opportunités d’échanges, mais elle me ralentit – considérablement – dans ma quête de connaissances. Que faire ? Au fond, j’aimerais converger vers un compromis avec elle. Un commun accord qui me permette de rester, sans devoir me soumettre à toutes ces forces qui étouffent mes élans. Pour faire court : participer aux cours seulement lorsque je le juge nécessaire, et restreindre l’évaluation aux examens terminaux. Une telle restriction a ses raisons.

Quelle idée utopiste !

Pourquoi je reste ? C’est la solution sage ; aussi la cause de la barrière de mon esprit. Tout irait mieux si je partais. J’en ai tellement envie. Et pourtant, rester est la bonne solution. Je le sais. Je n’aurais aucun mal à m’en sortir en dehors du système. Aucun. Mais l’université m’apportera une chose que je ne trouverais pas ailleurs : l’influence – pour la changer elle-même, de l’intérieur – et accéder à quelques sphères inaccessibles autrement.

Je dois rester. Mais je ne tiendrais pas sans compromis. Le lâché prise est déjà bien entamé. L’université a le pouvoir de propulser des génies potentiels, comme de les détruire. Il y en a tant qu’elle a détruit, si peu qu’elle a propulsé. Que fera-t-elle avec moi ? Je ne peux dire si c’est un génie qu’elle détruit, mais je peux assurer qu’elle me détruit bel et bien.

Alors la conclusion s’impose, évidente. Si le compromis n’est pas possible, je n’aurais d’autres choix que de continuer ma route ailleurs, et tant pis pour ceux qui y ont tout à perdre. Si le compromis s’avère possible, d’abord merci à ceux qui auront œuvré à cet effet, et il n’y aura alors plus qu’une chose à faire : ne pas les décevoir.

#Et le blog dans tout ça ?

Le blog … Difficile de tenir une ligne éditoriale lorsque la résultante des forces est nulle. Parler de tout et son contraire, des paradoxes pleins les idées. En bref, l’avenir est encore incertain, et dépendra de la force qui se trouvera libérée de ses contraintes – naturellement, celle-ci dépendra de l’issue de toute cette histoire, compromis, ou pas compromis.

Alors je ne peux pas vous dire grand-chose pour le moment, hormis que les choses sont en train de bouger, et que vous allez m’entendre bien assez vite.

Restez à l’affut de prochaines publications, et mes excuses à tous ceux qui auraient trouvé ce billet confus. En vérité, tout autant confus que nécessaire.  

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JDB #Semaine 10 : Une équation pour la réussite ?

Pas de fil directeur pour ce JDB. Carte blanche à mon imagination.

Ces derniers temps, plus de travail, des cours plus exigeants, plus de projets à rendre, de comptes rendus. Tout s’accélère. N’en serait-ce que pour les cours, le problème serait mineur. Mais implémentons-y l’approfondissement personnel de ceux-ci, qui manquent, pour certains, cruellement de profondeur, le suivi d’un enseignement en distanciel à l’observatoire de Paris, l’apprentissage du Latex, mes nombreuses lectures, écritures, la tenue du blog …, et voilà qui représente un paquet d’activités à assurer. D’autant plus que mon but réside toujours en la performance, et la production d’un travail de qualité en toutes circonstances. Ne serait-il pas absurde de passer du temps dans la réalisation d’un travail, juste pour le dit de l’avoir fait, avec donc comme perspective de le bâcler ? À quoi bon ? Ce temps serait perdu.

Rassurez-vous, le tableau n’est toutefois pas si noir ! Et j’en serais même presque satisfait. J’arrive assez bien à respecter les principes qui font la réussite académique, et la surcharge de travail apparaît plus tel un challenge qu’un obstacle. Je me prends au jeu. S’il faut prioriser, priorisons. S’il faut optimiser, optimisons. Le temps, l’intensité dans le travail. Car ce sont là les deux pans fondamentaux de cette réussite, quête hasardeuse de tant d’étudiants. Le chemin à suivre, si vous ne le trouvez pas ailleurs, j’aimerais vous l’ouvrir ici.

#L’équation

Le temps. L’intensité dans le travail. Soyez maître de votre temps, maître de votre esprit. Les deux sont étroitement liés par ailleurs. Travaillez sur l’un, vous travaillerez sur l’autre, et inversement. Je ne saurai pas vous faire un topo complet ici, la tâche serait colossale. Elle l’est d’ailleurs. Un blog entier ne peut pas même suffire. Alors synthétisons, en une équation sur laquelle je vous invite à méditer :

(travail accompli) = (le temps passé à l’accomplir) x (l’intensité que vous mettez dans son accomplissement)

Pas besoin d’immenses connaissances en mathématiques pour en comprendre la signification. Mettez le temps à 0, et 0 x (quelque intensité que ce soit) = 0. Pas de travail accompli. Rien d’étonnant. Mais ce qui l’est plus, c’est qu’il en va de même pour l’intensité. Passez autant de temps que vous voulez à travailler, si l’intensité est nulle, le travail accompli le sera aussi.

Votre but en tant qu’étudiant – et dois-je souligner que cela ne se limite pas qu’aux étudiants ? – est de maximiser le travail accompli, tout en minimisant le temps passé à l’accomplir, car en effet, cette ressource n’est pas extensible, donc précieuse. La conclusion n’est-elle pas évidente ? N’est-il pas naturel de maximiser l’intensité ?

Illustrons par un exemple. Prenons l’intensité sur une échelle de 1 à 10, 10 correspondant à une intensité maximale. Supposons qu’il faille dix heures à un étudiant standard pour accomplir un travail particulier, avec une intensité relativement faible, disons 3. D’après notre équation, un même travail peut être accompli en seulement trois heures, pour une intensité maximale de 10 ! N’est-ce pas révélateur ? D’autant plus que l’étudiant averti divisera ces trois – déjà trop longues – heures de travail en trois sessions d’une heure, réparties tout au long de la semaine. Ainsi, ce qui aura nécessité une journée entière de travail inefficace à certain – pour au final un travail de piètre qualité – paraîtra un jeu d’enfant à d’autres, qui eux produiront de quoi se placer sans difficultés dans les premiers de leur promotion, tout en se libérant un temps non négligeable à consacrer à tout un tas d’autres activités nécessaires à leur bien-être, et à une réussite durable. Sport, vie sociale, associative, curiosités intellectuelles, conférences, musique, art, projets personnels, etc.

Alors à ceux qui pensent, et disent manquer de temps, autant vous dire ce qu’il en est vraiment : vous avez tort. Occupez-vous à maximiser l’intensité, et mettez un point d’honneur à vous focaliser sur ce vecteur de réussite.

#Avertissement

Mais comment faire ? Le sujet est vaste. C’est pourquoi je me contenterai de vous énoncer ici les quelques pistes de réflexions qui me viennent à l’esprit. D’abord, j’ai bien peur de vous dire que, pour certain, il sera nécessaire de radicalement changer votre manière de travailler. Un premier grand pas à faire vers la réussite, et très certainement le plus compliqué. S’il est de votre habitude de passer vos journées à la BU, de travailler tard le soir sur votre lit, ou devant la télé avec vos colocs, de vous retrouver tellement surchargé la veille d’examen que les nuits blanches deviennent inévitables, c’est à vous que je parle. Enfin, pas seulement. Je parle autant à ceux qui travaillent d’arrache-pied, pour de piètres résultats, qu’à ceux qui n’en font pas une, ne sachant pas comment s’y prendre.

La réalité que vous devez accepter est celle dictée par l’équation. Oui, il est possible de travailler relativement peu, mais bien, et d’obtenir de meilleurs résultats que ceux qui passent leur temps à bosser, mais mal, et d’une manière à faire pleurer les principes de productivité. Mais pour en arriver là, si vous partez de bas, soyez prévenu, vos habitudes, vous allez devoir changer. Et ça, je vous l’accorde, ça n’a rien d’évident.

#L’intensité

Bref, venons-en au plus important. L’intensité. Quelques pistes de réflexions. J’aurai l’occasion d’en reparler longuement.

Travaillez seul. Les travaux de groupe sont des trous noirs de distraction. Honnêtement, qui est déjà arrivé à se concentrer convenablement, et à tirer pleinement partie de l’aide qu’une émulation de groupe peut apporter ? C’est possible. Mais pour ça, il faut trouver les bonnes personnes. Et elles sont rares.

Travaillez en de petites sessions bien réparties tout au long de la journée. Trente minutes de pause entre deux cours ? Filez dans un endroit calme et mettez-vous immédiatement au travail. Souvenez-vous de l’équation. Trente minutes sont amplement suffisantes pour achever une quantité de travail déjà conséquente. Naturellement, ceux qui ne sont pas familier de cette vérité penseront ces trente minutes trop courtes, et repousseront inévitablement la réalisation du travail au soir, là où sommeil et vie sociale se doivent d’être les premières priorités. Autrement dit, bossez pendant la journée et libérez vos soirées !

Quoi faire pendant ces trente minutes ? Quoi faire pour maximiser l’intensité ? La technique Feynman. Elle doit devenir votre nouvelle raison de vivre ! L’idée veut que, après avoir appris un cours, vous vous récitiez à voix haute le contenu de celui-ci. Afin d’imprimer l’information durablement dans votre cerveau, vous devez faire l’effort de la retrouver, sans céder à la facilité en allant la chercher dans votre cours. Je ne rentrerai pas dans des détails de science cognitive, mais soyez certain que c’est ainsi que les choses fonctionnent.

Un exemple. Il existe certainement des numéros / codes / suites de symboles sans signification que vous vous surprenez à connaître par cœur, alors que vous êtes incapable de retenir quelques autres. Quelles différences entre les deux ? Les uns, à chaque fois que vous en aviez besoin, vous avez fait l’effort de vous en souvenir, sans les regarder, imprimant ainsi toujours un peu plus l’information dans votre cerveau. Les autres, vous cédez toujours à la facilité, en vous contentant de les lire et de les recopier. Je vous suggère de faire l’essai, les prochaines fois que vous aurez à utiliser ces derniers, de ne pas les regarder, et de faire l’effort de les retrouver dans vos souvenirs. À coup sûr vous serez surpris de l’efficacité de la technique. Faites la même chose pour chacune de vos courtes sessions de travail.

À la lumière de ce que nous venons de dire, un dernier mot sur les travaux de groupe. Il existe un cas dans lequel ils peuvent vous être terriblement utiles : mettez-vous dans la peau de l’enseignant et transmettez vos connaissances à vos camarades. Sans doute l’une des meilleures manières d’implémenter la technique Feynman, car ainsi, vous vous assurez que votre savoir est bien réel, vous le renforcez, et identifiez vos points faibles.

Et donc : travaillez sur ces derniers, plutôt que de perdre du temps sur ce que vous maitrisez déjà. Cela implique de les connaître, et ce n’est certainement pas en relisant passivement vos cours que vous les mettrez au jour.

Parmi quelques autres points, je pourrai citer : efforcez-vous de trouver, sur votre campus, des endroits sans distraction et rapidement accessibles que vous pourrez rejoindre lors des pauses entre vos cours.

Mangez seul le midi. Vous n’avez pas idée du temps perdu, lorsque, en groupe, il faut se décider à aller manger, attendre les retardataires, faire la queue au RU, manger enfin, attendre on ne sait trop quoi pour finalement se lever, et se rendre compte qu’une heure de travail potentielle vous est passée sous le nez ! Le soir, après avoir terminé efficacement votre travail de la journée, vous aurez tout loisir de prendre du bon temps avec vos amis, ce qui, vous le savez, sera infiniment plus excitant que les quelques heures pressées du temps de midi.

En règle générale – et vous comprendrez bien que tout cela est intimement lié à ce que vous venez de lire – ayez une vie équilibrée, dont vous seul êtes le maître. Mangez bien, faites du sport, respectez un rythme de sommeil sain (impossible si vous passez vos soirées à travailler parce que vous n’avez pas su être efficace durant la journée), puisez votre énergie dans vos relations sociales, dans votre passion pour votre domaine d’étude, qui ne peut qu’aller grandissante si, en mettant en œuvre les principes que je vous expose ici, vous vous rendez compte que la réussite est une chose facile !

Voilà où m’a menée mon imagination … Plus loin que ce que j’imaginais. Finalement, je crois vous avoir synthétisé, en bien peu de mots, les grands principes qui, si vous y mettez assez d’efforts, feront votre réussite. Je vous invite à les faire vôtres, à les tester, les mettre en œuvre et me poser des questions si quelques-uns d’entre eux demeurent encore obscures. Quoi qu’il en soit, le blog n’en est qu’à ses débuts, et des approfondissements il y aura. Pas d’inquiétude donc.  

Maximisez l’intensité. Minimisez le temps. Faites-en votre mot d’ordre. Votre travail sera digne des plus grands, et du temps vous libérerez, vous laissant libre d’en faire ce que bon vous semble. Dans mon cas, quelques activités supplémentaires je viens rajouter aux précédentes, leurs appliquant toujours les mêmes principes que je recherche sans relâche à perfectionner, espérant ainsi par mon travail, gagner de l’influence, et poursuivre les œuvres entreprises par d’autres grands hommes bien avant moi.

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